Télécharger
Suivant
Précédent

Deux cavaliers arabes faisant boire leurs chevaux

1851
RF 3901 ; Inv 1936 13
Département des Peintures
En dépôt : Musée des Beaux-Arts, Lyon
Numéro d’inventaire
Numéro principal : RF 3901
Numéro dépositaire : Inv 1936 13
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
Chassériau, Théodore (Sainte-Barbe-de-Samana (Antilles), 1819 - Paris, 1856)
France École de

description

Dénomination / Titre
Titre : Deux cavaliers arabes faisant boire leurs chevaux
Description / Décor
Inscriptions
Signature :
Signé, daté en bas à droite : Thre CHASSERIAU 1851

Caractéristiques matérielles

Dimensions
Hauteur : 0,81 m ; Largeur : 0,65 m
Matière et technique
bois

Lieux et dates

Date de création / fabrication
XIXe siècle (1851)

Données historiques

Historique de l'œuvre
Coll. Ingres, Damblat puis baron Arthur Chassériau.
Legs Arthur Chassériau au musée du Louvre, 1934. Dépôt au musée de Lyon en 1936.
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Mode d’acquisition
legs
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Peintures

Localisation de l'œuvre

Emplacement actuel
Lyon (France), Musée des Beaux-Arts, salle d'exposition

Index

Mode d'acquisition

Bibliographie

- Musée national d'art occidental - Tokyo (dir.), Théodore Chassériau. Parfum exotique, cat. exp. (Tokyo, Musée national d'art occidental, du 28 février au 28 mai 2017), Tokyo, Interpublica Co., 2017,
- Foucart-Walter, Élisabeth, « Tableaux déposés par le Louvre », dans Compin, Isabelle ; Roquebert, Anne (dir.), Catalogue sommaire illustré des peintures du musée du Louvre et du musée d'Orsay. V. Ecole française. Annexes et index, Paris, Editions de la Réunion des musées nationaux, 1986, p. 194-394, p. 223
- Sandoz, Marc, Théodore Chassériau (1819-1856) : catalogue raisonné des peintures et estampes, Paris, Arts et métiers graphiques, 1974, p. 312

Expositions

- Théodore Chassériau, Tokyo (Externe, Japon), National Museum of Western Art, 28/02/2017 - 28/05/2017
Dernière mise à jour le 13.02.2023
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances