Télécharger
Suivant
Précédent
Montre ovale polylobée
1600 / 1650 (1ere moitié du XVIIe siècle)
Lieu de création : Suisse (Europe)
OA 10064
Département des Objets d'art du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes
Actuellement visible au Louvre
Salle 531
Aile Richelieu, Niveau 1
Numéro d’inventaire
Numéro principal : OA 10064
description
Dénomination / Titre
Titre : Montre ovale polylobée
Type d'objet
horlogerie ; montre
Description / Décor
Montre ovale ; boîtier en cristal de roche taillé de huit lobes ; armatures gravées. Pendant en forme de chapiteau. Anneau horaire porté par une plaque gravée de rinceaux fleuris et d'une vue de village. Echappement à verge, fusée avec corde à boyau. Coq et cliquet repercés et gravés de rinceaux. Piliers moulurés.
Caractéristiques matérielles
Dimensions
Hauteur : 4,9 cm ; Largeur : 2,5 cm ; Epaisseur : 1 cm
Matière et technique
Matériau : cristal de roche
Matériau : argent
Matériau : laiton
Matériau : argent
Matériau : laiton
Lieux et dates
Date de création / fabrication
Epoque / période : Henri IV (1589-1610) (Occident->Renaissance->dynastie des Bourbons) ; Louis XIII (1610-1643) (Occident->époque moderne = Ancien Régime->dynastie des Bourbons)
Date de création/fabrication : 1600 - 1650
Date de création/fabrication : 1600 - 1650
Lieu de création / fabrication / exécution
Suisse (Europe)
Données historiques
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Jusseau, Légataire
Mode d’acquisition
legs
Date d’acquisition
date du legs : 1961
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Objets d'art du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
Richelieu, [OArt] Salle 531 - Paul Garnier, Vitrine 4
Index
Mode d'acquisition
Période
Type
Bibliographie
- Cardinal, Catherine, Les montres et horloges de table du musée du Louvre, Tome 2, Paris, RMN, 2000, n° 62
Dernière mise à jour le 31.03.2023
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
